Private Discuss ou la visioconférence «Zoom» 100% française qui monte !


Alors que la crise sanitaire fait rage, que la crise économique est prégnante, tout le monde parle de télétravail, de distanciation. Le besoin de distanciation est si fort que tout un chacun se rue sur les outils collaboratifs et de visioconférence (essentiellement américains) sans prêter garde qu’une autre crise nous guette, sans aucune immunité collective : une crise cyber.

 

Dans cette ruée sur les outils, digne de la grande époque Far-West, on en oublie nos principes de précaution digitaux avec une telle impéritie que cela en devient consternant pour ceux qui essaient de garder la tête froide en cette période compliquée.

Peut-être que le Covid19 a affecté nos capacités cognitives. Le Cloud Act ? Connais pas. La souveraineté de la data ? « Ce n’est pas le moment Monsieur, la pandémie est mondiale ». La confidentialité ? Pas si grave finalement. Certes, mais enfin.

Et dans les turpitudes sanitaires, personne ne s’étonne donc que des millions d’utilisateurs Zoom aient été piratés avec des transferts de données vers la Chine et que nos conversations sur des outils anglo-saxons puissent être écoutés en toute légalité par les Agences fédérales américaines. Rappelons tout de même, que ces mêmes Agences, travaillent à 80% dans un objectif d’intelligence économique, le reste restant dévolu à l’anti-terrorisme et à la lutte anti-drogue.

Et si certains s’émeuvent de ce manque de réalisme ou de précaution, les réponses lapidaires sont d‘une vacuité extrême, dignes d’un « circulez il n’y a rien à voir ».

Et dans cet aggiornamento, beaucoup d’acteurs, dans un aveuglement qui frôle la dérision, utilisent donc à bras raccourci, -dans des domaines hautement sensibles tant politiques qu’économiques- Zoom, Teams, Star Leaf etc….. Malgré leurs failles, leurs défauts inhérents, connus ou maladroitement dissimulés, ces mêmes acteurs utilisateurs ou leurs responsables cyber semblent aveuglés dans la précipitation collective.

 

Dans ce contexte, il y a une solution 100% française, qui comptait 10 000 utilisateurs avant la crise et qui ne cesse de monter : cette solution c’est Private Discuss.

Un nom pas très français, certes, il faut l’admettre mais « les noms outre-Atlantique ont bonne presse dans l’hexagone, les drive-in de plusieurs kilomètres de voitures des fast food à peine rouverts peuvent en attester » commente avec amusement la Responsable communication Izabela Ausztol.

Malgré ce nom, la solution Private Discuss est développée en France, hébergée en France avec un hébergement des données en France. « Le principe qui nous gouverne est d’être une solution 100% française » affirme son Président, Jean-Pierre Lach.

Private Discuss a choisi d’ailleurs un ambassadeur de marque, qui représente excellement bien cette tradition du savoir-faire français en la personne de Sebastien Chabal. Celui-ci s’en fait le promoteur infatigable, en digne représentant de la seule solution française de visioconférence sécurisée, comme il le répète à l’envie.

 

Sebastien Chabal, qui a aussi pris une part au capital l’affirme : « La sécurité est pour nous un concept essentiel. Faire de la visioconférence oui, mais pas n’importe comment, dans n’importe quelles conditions. » Un clin d’œil non dissimulé aux déboires récents de Zoom et à l’intérêt grandissant et souvent anarchique de beaucoup d’acteurs pour ces solutions de télétravail.

 

En effet, Private Discuss, contrairement à beaucoup d’autres solutions, effectue un chiffrement de bout en bout qui est actif automatiquement et par défaut aussi bien pour les conversations directes, que les chaines multiples ou les visioconférences. Seules les personnes qui communiquent peuvent accéder aux messages qui leur sont destinés. Le chiffrement des données est réalisé sur l’appareil client de l’utilisateur avant envoi au serveur. La « Data » est donc protégée depuis l’émetteur source jusqu’au destinataire. La solution est évidemment conforme au RGPD, car « la data est la propriété de chacun et comme elle va constituer le nouvel or noir dans les prochaines années, il est nécessaire d’être vigilent sur la sécurisation des données » insiste, Nawfal Sikal, expert en cybersécurité qui dirige les équipes de développement.

Et continue « Les algorithmes de chiffrements utilisés par Private Discuss sont Curve25519, AES 256 et HMAC-SHA-256 assurant la totale confidentialité et sécurité des échanges et données utilisateurs. Les appareils ne prenant pas en charge ce chiffrement ne sont pas compatibles avec l’utilisation de Private Discuss. La sécurité ne passe pas par l’universalité. »

Voilà qui est dit et pose clairement les principes qui font la force de Private Discuss.

 

A ceux qui pourraient pousser des cris d’orfraie en pensant que Private Discuss pourrait profiter de la situation, Jean-Pierre Lach, Président, rétorque que « Private Discuss est offert pendant 3 mois aux entreprises, 6 mois aux TPE, et 12 mois aux associations. Et que pour les particuliers, l’utilisation est gratuite pendant 24 mois. Il faut aller dans la solidarité collective. »

Et le pari est doublement assuré. Car Private Discuss, pour reprendre une terminologie d’actualité, n’est plus confinée à 10 000 utilisateurs mais affiche maintenant un déconfinement à plus de 100 000 utilisateurs actifs, avec une forte viralité, (sans aucun jeu de mots), au travers du bouche à oreille et des réseaux.

Car au-delà des entreprises, collectivités, associations, particuliers, même des partis politiques échaudés par des mésaventures récentes et par l’incertitude grandissante sur les autres outils du marché, ont opté pour Private Discuss.

Elle a tout d’une grande, martèle Sebastien Chabal, non sans ironie : « Quel que soit son public, à la différence de ses solutions concurrentes, Private Discuss a été pensée aussi pour une utilisation professionnelle. Des fonctionnalités de groupes de travail, de partage d’écran, d’administration des utilisateurs et des politiques sécurités de la plateforme permettent à Private Discuss d’être un vrai outil de travail pour les entreprises. »

« La crise actuelle, nous a fait évoluer pour aller encore plus loin dans la vision de la solution», conclut Didier Dalod, Directeur Juridique et Contrats. Pour reprendre ensuite « nous avons ajouté d’importantes fonctionnalités qui vont dans le sens de la virtualisation, de la digitalisation et de la dématérialisation. En effet, la nouvelle version inclut dorénavant la fonctionnalité de mise en œuvre des Webinar jusqu’à 5000 personnes mais aussi la possibilité d’effectuer des Assemblées Générales avec les votes associés. » Le premier Conseil Municipal virtuel s’est tenu grâce à Private Discuss dans une importante commune de la Drôme courant avril.

 

Private Discuss est disponible sur toutes les plateformes Android, Ios, Web, Linux, Windows et MacOs. Private Discuss permet à l’utilisateur de se connecter sur plusieurs appareils afin d’avoir la meilleure expérience utilisateur possible.

« Le 100% français, le collaboratif dans un environnement cyber sécurisé et modulaire nous projette à avoir 1 million d’utilisateurs au minimum en septembre 2020 », selon Jean-Vianey Dard, Directeur Associé en charge de Private Discuss. « La sécurité de nos données, de nos échanges est un enjeu sociétal » conclut Jean-Vianney. Et cet ancien officier des forces spéciales sait de quoi il parle.

En région Rhône-Alpes, malgré la crise économique globale qui se profile, Private Discuss a lancé le recrutement de 30 nouveaux ingénieurs en appui de l’équipe actuelle.

 

— Communiqué de presse du 4 mai 2020.